Gustave en concert

Comment définir Gustave ? Du Rock ? De la pop ? Des seventies ? Du Rétro ? C’est un savant mélange de tout ça.

Le premier EP sortira courant mars 2022 avec les titres : Gustave – Trafiquant d’Âmes – Rose – Love Game – La Décadence – Prends moi dans tes bras.

Vous souhaitez en savoir un peu plus ? N’hésitez pas à consulter le site www.gustave-legroupe.com afin de découvrir l’univers de Gustave.

J’ai assisté à l’un de leur premier concert. C’était vendredi soir à La Palène à Rouillac.

Avec David Cadiou au chant et au piano, Fabien Sergent au chœur et aux claviers, Thomas Ottogalli à la guitare et au chœur, Bruno Texier à la basse et au chœur et Éric Jaccard à la batterie.

Moonlight Benjamin au Point Carré

Une voix sensuelle, soul, magnifique et fervente, pour un voyage au sein de l’immense diversité de l’âme haïtienne. Envoûtante, Moonlight Benjamin fait résonner les voix des poètes haïtiens. Elle chante l’exil, l’identité, la révolte avec la force de ses mélodies ; le feu de tout un peuple couve en elle et se répand.

Elle était hier soir au Point Carré à Angoulême, notamment accompagnée par Matthis Pascaud à la guitare.

Les âmes nocturnes à Soyaux Fou

Formés auprès de Marcel Marceau et après 7 années passées à diriger d’autres artistes (chanteurs d’opéras, artistes de cirque de renommée in-ternationale…), Roussat et Lubek retournent, chargés de ces rencontres, à la simplicité de leur relation duelle et à leurs propres compétences : jeu bur-lesque, théâtre corporel, musique, manipulation d’objets, travail d’illusion…

Pour « Au bonheur des vivants », ils s’inspirent autant de Magritte, de la famille Addams que de Murnau, Marcel Aymé ou encore Fritz Lang.

Une écriture avec la sincérité du clown et la grâce du mime, une fable vi-suelle et féerique aux allures de rêve éveillé parsemée, comme notre quoti-dien, d’obstacles insignifiants et de moments de grâce qui raconte l’enchan-tement du vivant.

Les clowns virevoltants et imprévisibles de Cécile Roussat et Julien Lubek ressurgissent dans un délire réjouissant et féerique. A la croisée du jeu burlesque, de l’illusion et du cirque, ce duo inclassable rappelle autant Lagaffe que Buster Keaton.

Ils étaient jeudi soir à l’Espace Matisse à l’occasion de la 15ème édition du festival Soyaux Fou