Les bulles Roses 2022

Partout en France, Octobre rose c’est l’occasion de mobiliser autour du dépistage du cancer du sein. Des événements sont organisés pour informer et récolter des fonds pour la recherche.

En Charente, et depuis plusieurs années, la ville d’Angoulême s’engage cette démarche. Ce samedi après-midi, les coureurs et les marcheurs avaient rendez-vous sur l’esplanade des chais Magélis. Plus de 2500 personnes étaient inscrites pour l’événement. Un soleil radieux, pour un tracé le long de la Charente entre le parc de Frégeneuil, le Musée du Papier et la cité Internationale de la Bande Dessinée.

L’exposition accidentelle

« Parce que je veux exprimer un art, une pensée dans l’herbe, faire de l’esprit un ressort de la créativité et de l’imaginaire, qui se rencontrent, se percutent, collisionnent avec le chat de la voisine » Voici le texte de l’Exposition accidentelle qui se déroulera place Saint André à Angoulême le samedi 10 septembre.

Une exposition accidentelle avec des artistes qui ne se connaissent pas, d’univers différents et qui se retrouvent à l’occasion d’une journée simplement pour le plaisir d’exposer et de partager.

J’ai retenu 6 photos qui sont un clin d’œil aux artistes qui ont réalisé de magnifiques graffs dans des lieux abandonnés voire disparus, qui ne seront jamais vu du public et que j’ai pu découvrir à l’occasion d’exploration urbaine.

Harlem Gospel Travelers

Dimanche 3 juillet et dans le cadre des « Beaux jours » de la ville d’Angoulême, La Nef a organisé un concert avec le groupe Harlem Gospel Travelers feat Eli Paperboy Reed. Un magnifique spectacle au Jardin Vert avec un gospel militant, profond et moderne qui a ravi le public venu en nombre les applaudir.

Les âmes nocturnes à Soyaux Fou

Formés auprès de Marcel Marceau et après 7 années passées à diriger d’autres artistes (chanteurs d’opéras, artistes de cirque de renommée in-ternationale…), Roussat et Lubek retournent, chargés de ces rencontres, à la simplicité de leur relation duelle et à leurs propres compétences : jeu bur-lesque, théâtre corporel, musique, manipulation d’objets, travail d’illusion…

Pour « Au bonheur des vivants », ils s’inspirent autant de Magritte, de la famille Addams que de Murnau, Marcel Aymé ou encore Fritz Lang.

Une écriture avec la sincérité du clown et la grâce du mime, une fable vi-suelle et féerique aux allures de rêve éveillé parsemée, comme notre quoti-dien, d’obstacles insignifiants et de moments de grâce qui raconte l’enchan-tement du vivant.

Les clowns virevoltants et imprévisibles de Cécile Roussat et Julien Lubek ressurgissent dans un délire réjouissant et féerique. A la croisée du jeu burlesque, de l’illusion et du cirque, ce duo inclassable rappelle autant Lagaffe que Buster Keaton.

Ils étaient jeudi soir à l’Espace Matisse à l’occasion de la 15ème édition du festival Soyaux Fou