Eté culturel, un soir en été

Hier dimanche à Angoulême, du coté de La Grand Font sur la place entre le bâtiment Coquelicots et le bâtiment Genêts avait lieu la dernière animation « Été Culturel, un soir en été ». Porté par le CAJ Bel Air Grand Font Angoulême, ce spectacle était proposé par le Sisyphe/Duo Simon Bismuth et Serge Rozumek, la Cie JoNoma Lucille Garelli et Anna Lancelot accompagnées pour l’occasion par Louise Maveyraud.

La Touvre en fête

Les communes de Ruelle sur Touvre, Gond-Pontouvre, Magnac sur Touvre et Touvre organisaient ce week-end, la 2ème édition du festival « La Touvre en fête ».

Jeux en bois, Traversée de la Touvre en Tyrolienne, rencontre avec un illustrateur, balade bucolique guidée au fil de la Touvre, sortie à kayak, concerts, ce fut trois jours de festivité sur les quatre communes longeant la rivière.

Dame météo fut clémente et a ravi la foule venue en nombre.

Un résumé de magnifique week-end :

J’avais finalisé le diaporama sans avoir pu assister aux festivités à Gond Pontouvre. Quelques jours plus tard, le service de communication de la mairie m’a proposé les photos suivantes:

Soba

SOBA était initialement composé de Moussa Koita chanteur multi instrumentiste et Vincent Bucher harmoniciste. Leur idée était de remettre à l’honneur le blues rural afro-américain, avec la musique d’une guitare et d’un harmonica.

Emile Biayenda percussionniste de Jazz les a rapidement rejoint pour composer le trio que l’on connait aujourd’hui.

La musique du trio est composée de chansons originales, à la croisée du Blues et de la musique des guitaristes troubadours qui sillonnent l’Afrique depuis longtemps.

Ils étaient hier soir en Charente à l’occasion de la fête de la Touvre. Ils seront le 3 juin à Angoulême à l’occasion du Festival de musiques Métisses

Moins nombreux, mais plus bruyants

A l’occasion de la dixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, beaucoup de charentais étaient dans les rues d’Angoulême, ce mardi matin. Une manifestation un peu moins suivie que la dernière fois – on était sur un record – mais avec des gens plus déterminés et plus bruyants. Un cortège classique pris en charge par les syndicats jusqu’ à ce que des lycéens se détournent du circuit officiel en empruntant les rues commerçantes jusqu’à l’hôtel de ville. Le cortège s’est désorganisé une nouvelle fois pour aller vers le champ de Mars, avant de se réunir devant la gare.